Synopsis
Compte tenu des restrictions imposées pour lutter contre la COVID-19, nous sommes contraints d’annuler ce spectacle. Merci de votre compréhension.
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Entre comédie burlesque et music-hall, quatre agitatrices prennent les choses en main : un coup d’état musical pour un monde meilleur !
Changer le monde ? Oui, mais en chanson ! 2500 ans après Aristophane, les Sea Girls remettent très librement au goût du jour L’Assemblée des femmes dans une version hilarante, dynamitée par le music-hall. Et si les chansons abordent des sujets sérieux, c’est toujours en empruntant le chemin de l’humour, de la légèreté et de la finesse.
Loin d’adopter une posture moralisatrice, ces quatre chanteuses fantaisistes au charme fou embarquent le public dans une expérience ébouriffante où elles l’invitent à imaginer des solutions pour « un monde meilleur » et à les adopter séance tenante. Entre tour de chant et tour de force, un spectacle décapant pour changer la vie !
En une vingtaine de chansons aux textes ciselés, ces quatre amazones délirantes [mettent] le doigt sur toutes ces choses qui fâchent, agacent, affligent et amusent finalement… Dans ce spectacle où la frite de piscine devient arme de guerre, où le charme se fait arme de dissuasion, tout est bon à prendre ! – L’œil d’Olivier
En partenariat avec Amnesty International – Groupe local de Saint-Quentin-en-Yvelines.
Distribution
Créé par Johanny Bert, Judith Rémy, Prunella Rivière et Delphine Simon
Mise en scène Johanny Bert
Livret et composition Prunella Rivière Composition et orchestration Fred Pallem
Direction vocale Lucrèce Sassella Chorégraphie Yan Raballand
Avec Lise Laffont, Judith Rémy, Prunella Rivière et Delphine Simon. Et pour la musique : Dani Bouillard (Guitare) Vincent Martin (Percussions) Benjamin Pras (Piano)
Mentions
Production Les Sea Girls.
Coproduction Le Bateau Feu scène nationale – Dunkerque, Théâtre André Malraux – Chevilly-Larue.
Résidence Théâtre Jacques Carat – Cachan, Théâtre des Bergeries – Noisy le Sec.
Avec le soutien de l’ADAMI, de la SPEDIDAM, de la SACEM, du CNV et du Théâtre de Romette.
Crédit photo Simon Gosselin.